Pour ses œuvres, Chéni mélange, multiplie, adapte, phagocyte et affine différentes techniques plus ou moins judicieuses pour une sérendipité maîtrisée : acrylique, huile, pastel, aquarelle, encre de chine, matériaux autres et parallèles.

Elles se définissent au service d’une trace symbolique, transcendante et atavique.

L’écriThure ainsi définie resurgit à plusieurs paliers de diffusion et se meut vers des réceptacles à priori faussement compatibles pour tenter une réapplication comtemporaine des supports transmetteurs.

Exposition visible toute la journée et jusqu’au 6 novembre.